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UNICANCER Update Il y a 6 ans

GETUG 21 : Essai de phase 3 randomisé, évaluant l’efficacité de l’association d’un traitement hormonal associé ou non à une radiothérapie et avec ou sans abiratérone et prednisone, chez des patients ayant un cancer de la prostate métastatique et n’ayant pas reçu de traitement par hormonothérapie. L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité de l’association d’un traitement hormonal associé ou non à une radiothérapie et avec ou sans abiratérone et prednisone, chez des patients ayant un cancer de la prostate métastatique et n’ayant pas reçu de traitement par hormonothérapie. Les patients seront répartis de façon aléatoire en quatre groupes de traitement. Les patients du premier groupe recevront un traitement anti-androgénique comprenant un agoniste ou un antagoniste de l’hormone LHRH ou une résection chirurgicale. Ce traitement sera répété tous les jours. Les patients du deuxième groupe recevront le même traitement que dans le premier groupe associé à des comprimés d’acétate d’abiratérone et de prednisone. Ce traitement sera répété tous les jours. Les patients du troisième groupe recevront le même traitement que dans le premier groupe associé à une radiothérapie. Les patients du quatrième groupe recevront le même traitement que dans le deuxième groupe associé à une radiothérapie. Dans les quatre groupes, ce traitement sera répété en l’absence de rechute. Des évaluations de qualité de vie, des bilans sanguins, des évaluations tumorales ainsi qu’un électrocardiogramme seront réalisés au cours de cet essai. Après l’arrêt du traitement, les patients seront suivis tous les six mois pendant dix ans. Dans le cadre de cet essai une étude associée sera réalisée, nécessitant des prélèvements sanguins, un prélèvement de la tumeur avant le début du traitement et des examens d’imagerie.

Essai ouvert aux inclusions
UNICANCER Update Il y a 4 ans

ACCORD 14 - RACCER : Essai de phase 2 étudiant l’impact de la séquence thérapeutique d’une radiochimiothérapie pré-opératoire suivie d’une chirurgie (TME) puis d’une chimiothérapie post-opératoire, chez des patients ayant un cancer du rectum localement avancé métastatique synchrone avec métastases résécables d’emblée. [essai clos aux inclusions] L'objectif de cet essai est d'étudier l'effet de l'association d'une radiothérapie à une chimiothérapie et à un anticorps monoclonal, le cétuximab chez des patients ayant un cancer du rectum avec des métastases opérables. Avant l'intervention chirurgicale, les patients seront traités pendant 5 semaines par une radiothérapie et une chimiothérapie. La radiothérapie se déroulera 5 jours sur 7. La chimiothérapie commencera le même jour que la radiothérapie. Les patients recevront de l'oxaliplatine (Eloxatine®) en perfusion de 2 h une fois par semaine, du cétuximab (Erbitux®) en perfusion une fois par semaine et de la capécitabine (Xeloda®) par voie orale deux fois par jour 5 jours sur 7. Six semaines après la fin du traitement, les patients ayant une tumeur résécable auront une ablation du mésorectum (tissu entourant le rectum dans lequel les cellules cancéreuses peuvent se développer). Après la chirurgie, certains patients recevront 6 cures d'une chimiothérapie comprenant du cétuximab une fois par semaine, de l'acide folinique, du 5-fluorouracile et de l'oxaliplatine toutes les 2 semaines. Les patients dont la maladie aura progressé ou dont la tumeur n'est pas résécable passeront en phase de suivi.

Essai clos aux inclusions
UNICANCER Update Il y a 4 ans
Essai clos aux inclusions
UNICANCER Update Il y a 4 ans

PERNETTA : Essai de phase 2 randomisé, évaluant l’efficacité d’une thérapie ciblée comprenant du pertuzumab et du trastuzumab associé ou non à une chimiothérapie, suivi d’un traitement de deuxième ligne comprenant du trastuzumab-emtansine (T-DM1), chez des patientes ayant un cancer du sein HER2+. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité d’un traitement composé du trastuzumab et du pertuzumab associé ou non à une chimiothérapie, suivi d’un traitement de deuxième ligne par trastuzumab-emtansine (T-DM1), chez des patientes ayant un cancer du sein HER2+. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en deux groupes de traitement. Les patientes du premier groupe recevront des perfusions séparées de trastuzumab et de pertuzumab, toutes les trois semaines. Ce traitement sera répété en l’absence de rechute de la maladie ou d’intolérance. Les patientes du deuxième groupe recevront le même traitement que dans le premier groupe associé une chimiothérapie comprenant soit une perfusion de paclitaxel une fois par semaine pendant trois semaines, soit une perfusion de vinorelbine une fois par semaine pendant deux semaines. Le choix du traitement sera laissé à l’appréciation de l’investigateur et sera répété tous les mois pendant au moins quatre mois, en l’absence de rechute de la maladie ou d’intolérance. Après rechute de la maladie, les patientes recevront un traitement de deuxième ligne comprenant une perfusion de trastuzumab-emtansine (T-DM1) toutes les trois semaines. Ce traitement sera répété en l’absence de rechute de la maladie ou d’intolérance. Les patientes complèteront des questionnaires de qualité de vie régulièrement au cours de cet essai.

Essai clos aux inclusions
UNICANCER Update Il y a 4 ans

Étude UC-0160/1717 : étude de phase 3, évaluant l'efficacité de l'atézolizumab mesurée par la survie sans récidive chez des patients ayant un cancer de la vessie non invasif à haut risque qui n'ont jamais reçu le BCG pour cette maladie. Le cancer de la vessie est le 7e cancer le plus fréquent en France, avec un âge moyen de 70 ans. Il touche les hommes dans plus de 80 % des cas. Le cancer de la vessie se développe à partir de l’épithélium urothélial. Dans 75 % des cas la tumeur est un carcinome urothélial localisé. Les causes du cancer de la vessie ne sont pas clairement définies. Néanmoins, certains facteurs de risque ont été identifiés comme le tabagisme, l’exposition à certains produits chimiques et à certains traitements et des infections parasitaires comme la bilharziose. La chirurgie consistant à une ablation de la tumeur suivie d’une chimiothérapie est préconisée comme traitement de référence. En cas de risque élevé de récidive ou de progression, un traitement par BCG associé à la chimiothérapie est recommandé. Le BCG est une immunothérapie contenant des bactéries peu virulentes qui vont stimuler le système immunitaires pour détruire les cellules cancéreuses. Le PD-L1 peut être exprimé sur les cellules tumorales et contribue à l'inhibition de la réponse immunitaire antitumorale. L'atézolizumab est un anticorps monoclonal qui se lie directement à PD-L1 et réactive la réponse immunitaire antitumorale sans induire de cytotoxicité cellulaire. L’objectif de cette étude sera d’évaluer l'efficacité de l'atézolizumab mesurée par la survie sans récidive chez des patients ayant un cancer de la vessie non invasif à haut risque qui n'ont jamais reçu le BCG pour cette maladie. L’étude se déroulera en 2 étapes. Lors de la 1re étape, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BCG seul 1 fois par semaine. Le traitement sera répété pendant 6 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du BCG 1 fois par semaine pendant 6 semaines associé à de l’atezolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 18 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème étape, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BCG seul 1 fois par semaine pendant 3 semaines successives à partir de la 13ème, 26ème et 52ème semaine. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2e groupe recevront du BCG 1 fois par semaine pendant 3 semaines successives à partir de la 13ème, 26ème et 52ème semaine, associé à de l’atezolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 18 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans.

Essai ouvert aux inclusions